Coucou Ladies,
Ça fait un bon moment que je n'ai rien rédigé sur le blog, faute de temps, d'humeur et mon PC malheureusement MORT :'(
Aujourd'hui on a l'honneur d’accueillir une jeune blogueuse amoureuse du monde culinaire, une vraie artiste!! et là j'ai un peu honte de mes réalisations face aux siennes :)
Rajaâ Bannari vient enrichir le blog de Lalla Moulati avec son adorable participation tant attendue. LES MACARONS
Et comme "dima!" je préfère ne rien changer du texte des blogueuses qui participent avec nous, c'est leurs articles, leurs articles, et leur SAVOIR FAIRE
Une recette haute en couleurs ! Une confiserie aux saveurs plurielles! … Une tradition ancestrale !
Tel est le Macaron, connu depuis le Moyen Age et, surtout, le XVIe siècle, sous diverses désignations dont « Maccherone », « petite pâtisserie rondes aux amandes », « nombril du moine » en Europe occidentale, ou encore « Louzieh » au Moyen Orient.
Pour ma part, le Macaron est juste « la diva de la pâtisserie ». C’est ainsi que j’ai baptisé ce beau petit joyau culinaire, sucré et parfumé. Aux mille et un caprices !
Sollicitant des ingrédients qui semblent être ordinaires et élémentaires, le Macaron se distingue de par l’art de le préparer, le secret de le cuire, et, bien-sûr, le soin de le servir.
C’est de cela que je vais vous parler lors de ma présentation de cette recette dite de base, sans omettre de vous faire part de quelques astuces « made in Les Saveurs du Palais ».
Au plaisir de vous lire bientôt, je vous souhaite une bonne et exquise découverte !
Ça fait un bon moment que je n'ai rien rédigé sur le blog, faute de temps, d'humeur et mon PC malheureusement MORT :'(
Aujourd'hui on a l'honneur d’accueillir une jeune blogueuse amoureuse du monde culinaire, une vraie artiste!! et là j'ai un peu honte de mes réalisations face aux siennes :)
Rajaâ Bannari vient enrichir le blog de Lalla Moulati avec son adorable participation tant attendue. LES MACARONS
Et comme "dima!" je préfère ne rien changer du texte des blogueuses qui participent avec nous, c'est leurs articles, leurs articles, et leur SAVOIR FAIRE
Macarons à la meringue Italienne (Base sans ganache) by Rajaâ Bannari
Au menu du jour ?
Un gâteau croquant et moelleux !Une recette haute en couleurs ! Une confiserie aux saveurs plurielles! … Une tradition ancestrale !
Tel est le Macaron, connu depuis le Moyen Age et, surtout, le XVIe siècle, sous diverses désignations dont « Maccherone », « petite pâtisserie rondes aux amandes », « nombril du moine » en Europe occidentale, ou encore « Louzieh » au Moyen Orient.
Pour ma part, le Macaron est juste « la diva de la pâtisserie ». C’est ainsi que j’ai baptisé ce beau petit joyau culinaire, sucré et parfumé. Aux mille et un caprices !
Sollicitant des ingrédients qui semblent être ordinaires et élémentaires, le Macaron se distingue de par l’art de le préparer, le secret de le cuire, et, bien-sûr, le soin de le servir.
C’est de cela que je vais vous parler lors de ma présentation de cette recette dite de base, sans omettre de vous faire part de quelques astuces « made in Les Saveurs du Palais ».
Au plaisir de vous lire bientôt, je vous souhaite une bonne et exquise découverte !
Matériel
- Un mixeur-hachoir : pour affiner les poudres au maximum car cela facilite le passage au tamis.
- Un Tamis: Essentiel pour obtenir des poudres bien fines pour que les coques réalisées soient bien lisses.
- Une Balance électronique: Le Macaron une science exacte, il faut être d’une grande précision pour peser les ingrédients.
- Un thermomètre culinaire: Ou thermo sonde de cuisson ; La meringue Italienne se prépare avec un sirop de sucre cuit à 117°.
- Un robot ménager: style « Kitchenaid » ou autre pour réaliser la meringue Italienne, préférable au batteur électrique car il vaut mieux avoir les mains libres pour réaliser des opérations simultanées.
- Une Maryse: c’est une spatule plate en silicone, un outil incontournable pour le macaronnage qui est une étape extrêmement délicate.
- Une poche à douille : ça permet de pocher régulièrement les tas de la pâte grâce à la douille lisse.
Les Ingrédients
- 150g de poudre d’amande
- 150g de sucre glace
- 55g + 55g de blancs d’œufs
- 150g + 15g de sucre semoule
- 50g d’eau
- Colorant au choix
Préparation
Une partie de la préparation se fait bien
avant le jour J.
Clarifier
les œufs : Clarifier un œuf est tout
simplement séparer le blanc du jaune. C’est une opération qu’il faut faire
plusieurs jours avant la confection des macarons. Vous vous posez la question
« pourquoi » ! Et voilà l’explication ; laisser un blanc
d’œuf quelques jours au frais va lui
permettre de se liquéfier (devenir liquide), du coup on obtient une meilleure
qualité de l’Albumine existant et par conséquent une meilleur qualité de la
meringue !
Préparer
les poudres : Dans un robot muni d’un cutter,
hacher très finement le mélange de la poudre d’amande et le sucre glace avant
de les passer au tamis. C’est le fameux mélange qu’on appelle « Tant pour tant ».
Confectionner
les coques :
Sortez les blancs d’œufs au moins une heure
avant de commencer la réalisation pour les ramener à une température ambiante.
Préparez les plaques à pâtisserie que vous allez utiliser pour la cuisson en
les chemisant de papier cuisson.
Versez le sucre semoule et l'eau dans une
casserole et faire chauffer sur feu modéré. Mettez le thermo sonde programmé
sur 117° dans la casserole également et laisser cuire.
Mon thermo sonde est programmé sur 116° sur la
photo pour me donner un temps de réaction par apport au blanc monter en neige, Chacun sa méthode !
Monter doucement les 55g de blancs avec une
pincée de sel. Quand ils commencent à mousser, incorporer le sucre en 3 fois en
augmentant la vitesse d’un cran à chaque fois. Les blancs montés ne doivent pas
être trop ferme.
Quand le sucre atteint finalement 117°C,
ralentissez la vitesse de votre robot pour éviter les éclaboussures puis versez
le sirop bouillant tout doucement en le faisant couler sur les bords du bol.
Augmentez un peu la vitesse maintenant et
laisser tourner jusqu'à ce que le mélange devient tiède ; plus ou moins
40°. (Et voilà votre meringue italienne).
On peut ajouter notre colorant à ce stade là.
Préférez des colorants en poudre ou en gel car les liquides ont tendance à
modifier l’appareil.
Entre temps, mélangez les autres 55g de blancs
non montés avec les poudres tamisées en les incorporant bien à la Maryse.
Maintenant que les deux mélanges sont prêts on
peut commencer le macaronnage.
Voilà notre
meringue en « bec d’oiseau »
Incorporez la meringue italienne dans le
mélange des poudres tamisées et les blancs d’œufs non battus en trois
fois et en procédant ainsi :
Partez du centre de l’appareil vers
l’extérieur en appuyant la spatule afin
de racler le fond du bol et soulevez la masse en même temps.
Il faut que le mélange soit lisse, brillant et
souple et qu’il tombe en faisant un ruban ; c’est là toute la difficulté
du macaronnage car l’appareil ne doit être ni trop liquide
(trop de macaronnage) ni trop consistant (Pas assez de macaronnage).
La pâte tombe en faisant un ruban, c’est à ce
stade là qu’il faudra s’arrêter.
Avec une poche dotée d'une douille
de 8 ou 10mm, réalisez des petits tas de pâte sur des plaques à pâtisseries
garnies de papier de cuisson.
J’ai utilisé deux colorant car j’ai prévu des
Macarons au beurre salé et des Macarons au citrons ; mes préfères !
Laissez croûter les macarons entre 30 min et
une heure ça dépends de l’atmosphère de votre cuisine !
Enfournez pendant plus ou moins 15 minutes à
145°. Il faut s’adapter et apprivoiser son four !
Laissez tiédir avant de démouler les petites
coques.
Astuces
Dessinez un gabarit si vous n’arrivez pas à
pocher des coques de la même taille.
Préparez bien tout ce qu’il faut et pesez tout
les ingrédients au gramme près avant de commencer. Ça optimisera la
réussite !
Si vous voyez que vos macarons gardent la
petite pointe en pochant, tapotez légèrement
la plaque contre le plan de travail car ça permet de lisser la surface
des coques.
Pour bien apprécier ces petites douceurs il
faut respecter le temps de maturation qui est de 24h au frais car cela
permet une osmose entre les saveurs des
coques et de la ganache.
Planifiez la réalisation de vos macarons pour
pouvoir préparer sa ganache la veille au soir et la conserver au frais en
attendant.
Évitez de faire la vaisselle à coté des plaques de macarons car leur premier ennemi est l’humidité !
Ratages
Coques craquées, raplapla ou sans
collerettes ; macaronnade trop
travaillée du coup structure des blancs en neige cassée.
Coque grumeleuses ou pas trop lisses ; le
tant pour tant pas suffisamment mixé ou tamisé
Coques fendillées ; les coques sont
enfournées avant d’être suffisamment croûtées, ou bien y’a de l’humidité dans
l’aire.
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